Au bord du fleuve dans le parc Clémentine-De La Rousselière, Laurent a raconté comment il a été étonné par l’immensité du lac Saint-Pierre lors de sa première navigation sur le Saint-Laurent. Il a également évoqué son engagement au sein de l’organisme Jeunes Marins Urbains, où il participe à la fabrication de voiles-avirons artisanales et où il initie des enfants à la navigation.
« … au milieu du lac Saint-Pierre, c’est un peu étrange mais, en même temps, c’est magnifique. On a la sensation d’être loin de tout… C’est tellement grand mais en même temps c’est tellement petit parce qu’il y a tellement peu d’eau. On a l’impression que c’est un lac immense mais on pourrait le considéré comme un grand grand marais parce qu’il n’y a pas 2-3 mètres d’eau, pas plus. De plus, il n’y a pas de maison au milieu du lac Saint-Pierre qui est le Saint-Laurent.»
— Laurent
Dans cette trame sonore :
00:00 – naviguer sur le fleuve
01:57 – construire collectivement d‘un voile-aviron artisanal
03:42 – amener les enfants à découvrir le fleuve
Notez que la bande sonore ci-dessus est composée d’extraits de la conversation ayant eu lieu lors de cette rencontre. Le montage les a regroupés par thème afin de les rendre plus concis tout en préservant le sens des propos.
Nous tenons à remercier Laurent Misserey d’avoir accepté cette entrevue ainsi que Jeunes marins urbains pour sa précieuse collaboration.
