« Mais je me suis rendue compte, parce que j’en ai fait une fois avec eux [la voile-aviron], qu’il y a beaucoup de courant dans le fleuve. On ne le voit pas, c’est tranquille, on ne le voit pas, mais quand on est sur le fleuve, on voit toute la force qu’il y a dans le courant. Ça fait que c’est une autre perspective quand on est sur le fleuve. »
— Catherine
« Pour moi, comment ça a changé, c’est que je voyais le fleuve comme si c’était sale. C’est Montréal, c’est sale, c’est pas bien. Mais après, maintenant, je vois que c’est plus une richesse en tant que telle. Ça fait partie de notre histoire de ville. Ça fait partie de notre chez-nous.»
– Ariane
Dans cette trame sonore :
00 : 00 – redécouvrir ce environnement fluvial
01 : 22 – navette fluviale
03 : 05 – comme une richesse
04 : 34 – marcher sur le fleuve gelé
05 : 12 – diversité de faune
05 : 31 – une autre perspective
06 : 29 – plus attention pour l’eau
Notez que la trame sonore ci-dessus est composée d’extraits de la conversation ayant eu lieu lors de cette rencontre. Le montage les a regroupés par thème afin de les rendre plus concis tout en préservant le sens des propos.
Nous tenons à remercier Catherine Massey et sa fille Ariane Alonso de nous avoir partager leurs souvenirs et ses réflexions, au parc Clémentine – De La Rousselière, Montréal

