Récit de Sebastien
Le matin, je vais regarder le soleil qui se lève… j’ai mes canards qui sont là, qui mangent, qui viennent picosser dans les algues…
Le matin, je vais regarder le soleil qui se lève… j’ai mes canards qui sont là, qui mangent, qui viennent picosser dans les algues…
Comment la nature arrivait à être assez souple pour vivre proche de l’urbanité, sans vivre dans l’urbanité…
si les bateaux sont très, très simples… donc, plus accessibles, plus de gens devraient y avoir accès…
Parfois aussi, ça va être juste de voir des animaux passer. Là, le balbuzard pêcheur, je l’ai vu aujourd’hui…
à Valleyfield où mon grand-père avait une maison au bord de l’eau et un voilier à quai. J’adorais son bateau et je couchais dedans …
… quand on est sur le fleuve, on voit toute la force qu’il y a dans le courant. Ça fait que c’est une autre perspective…
souvent je viens le matin et on voit le lever du soleil, il y a des canards, il y a des oies, on voit plein de poissons…
C’est ma place préférée pour venir ici. À cause du fleuve, le fleuve, c’est une bonne énergie…
Un soir, il était peut-être 8h30, j’avais décidé d’aller faire un tour seul sur le bord du fleuve. Puis en descendant un peu plus vers le bas, il y a un grand héron qui s’est posé sur le bout de mon kayak.
Mon père était en fauteuil roulant. Et une des places qu’il pouvait se déplacer, c’était d’aller au fleuve…